
The Meccan Revelations Poems
Poem No.: 1468
Et après que sa passion se soit apaisée, cela lui parut comme un éclair qui en atténuait l'éclat.
From the Meccan Revelations, part fourth Page 549
1 | Et après que sa passion se soit apaisée, cela lui parut comme un éclair qui en atténuait l'éclat. | |||||||||||||||||||||||||||
2 | Il ressemble à l'ourlet d'une robe ou à ce qui se trouve en dessous. Il est difficile à atteindre et n'a pas de coins. | |||||||||||||||||||||||||||
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4 | Le feu est ce que contiennent ses côtes, et l'eau est ce que permettent ses paupières |
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From the poems of Sheikh Al-Akbar Muhyiddin Ibn Al-Arabi in the Meccan Revelations |
Research into the systems of the Meccan Revelations
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