En face, quand il est mort, il dit qu'il est vivant, et s'il regarde le toucher de ses veines, il dit qu'il est mort, et celui qui le regarde est confus, car Dieu a combiné pour lui la vie et la mort dans le état de sa vie et de sa mort. J'ai vu cela pour mon père, que Dieu lui fasse miséricorde. Nous ne l'avons presque pas enterré sauf avec un doute sur ce qu'il avait sur son visage quant à l'apparence des vivants. Et d'où venait le calme ses veines et son âme étant retranchées de l'image du mort, et quinze jours avant sa mort, il m'informa de sa mort et qu'il mourrait un mercredi, et ce fut le cas. Puis ce fut le jour de sa mort, et il était très malade. Il s'est assis, assis sans appui, et m'a dit : « Mon fils, aujourd'hui c'est le départ et la rencontre. » Alors je lui ai dit : « Que Dieu t'accorde ta sécurité. » Au cours de votre voyage, et je vous bénis de vous avoir rencontré, il s'en réjouit et me dit : " Que Dieu te récompense, mon fils, en mon nom. Tout ce que je t'entendais dire, et je ne le savais pas. " , et peut-être que j'en niais une partie, ici j'en suis témoin." Puis une étincelle blanche est apparue sur son front qui correspondait à la couleur de son corps sans aucun mal, et elle avait une lumière chatoyante qui la glaçait. Puis cela la lumière s'est répandue sur son visage jusqu'à ce qu'elle se répande dans tout son corps, alors je l'ai embrassé et lui ai dit au revoir et je l'ai quitté et lui ai dit : « Je marche vers la Grande Mosquée jusqu'à ce que tes funérailles arrivent à moi. » Il m'a dit : « Va et ne laisse personne entrer chez moi. » Il rassembla sa famille et ses filles, et quand il arriva,