Et se laver pour les menstruations, et se laver pour une femme qui a ses règles pendant la prière, et se laver pour la prière du vendredi, et se laver pour la prière du vendredi, et se laver pour l'Islam, et se laver pour l'ihram, et se laver pour entrer à la Mecque, et se laver pour se tenir à Arafat, et le lavage pour laver les morts. Quant aux considérations dans ces lavages, je les mentionne avant de détailler les principaux enjeux légitimes concernant le lavage à l'eau et leurs considérations, à partir de là < h3 style="color: rgb(255, 0, 0)" >( Chapitre sur le lavage du défunt )
Lorsqu'il est prescrit de laver le mort alors qu'il n'a aucune action, puisque quelqu'un d'autre est chargé de le laver, avertir celui qui le lavait qu'il devrait être entre les mains de son Seigneur. En le purifiant par sa réussite et en l'utilisant dans l'obéissance à lui et aux actions qui se produisent sur lui de la part de son Créateur et en lui, il est comme un mort entre les mains de celui qui le lave. Il ne voit pas son lavage à cet égard comme le fait de laver le mort, mais il voit plutôt que Dieu est son purificateur, et il se voit comme une machine avec laquelle Dieu accomplit cette action tout comme celui qui le lave voit l'eau.