Et il m'a dit : « Priez pour cela. » Il a dit, puis il m'a pris et m'a emmené de la maison, puis de la campagne, et il a marché avec moi dans un pays que je ne connaissais pas, et je ne savais pas où. J'étais sur la terre de Dieu, alors Dieu Tout-Puissant nous a rappelé ces endroits, puis il m'a ramené chez moi où j'étais. Il a dit, alors je lui ai dit : « Mon frère, quel sera le remplacement ? » Abdala, alors il m'a dit les quatre qu'Abou Talib a mentionnés concernant la subsistance, puis il les a nommés pour moi : la faim, veiller tard, le silence et l'isolement dans le cœur. Puis Abd al-Majid m'a dit : « Ceci est le tapis », alors J'ai prié dessus. Cet homme était l'un des plus âgés d'entre eux et son nom est Muadh bin Ashras. Quant à l'isolement, il appartient à l'aspirant de s'abstenir de toute caractéristique répréhensible et de tout caractère humble. C'est son isolement dans son état. Quant à son cœur, c'est qu'il s'isole dans son cœur de tout attachement à toute la création de Dieu, de la famille, de l'argent, des enfants, des compagnons, et de tout ce qui l'empêche de se souvenir de son Seigneur dans son cœur, même de ses pensées, et il n'a qu'un seul souci, qui est son attachement à Dieu. Quant à ses sentiments, son isolement est au début. L'état d'être coupé des gens et des familiarités, soit dans sa maison, soit en voyageant sur la terre de Dieu. S'il est dans une ville, alors d'une manière qui ne lui est pas connue. S'il n'est pas dans une ville, alors il s'en tient aux côtes et aux montagnes [Page 278 de l'édition du Caire]
et des endroits éloignés. Si les gens se sentent à l'aise avec lui et s'habituent à lui, et que Dieu lui parle de lui, qu'ils lui parlent ou non, alors qu'il s'isole.